Mardi 16 novembre 2010

La journée du mardi a été consacré à deux séances de travail.  En matinée, une rencontre avec divers intervenants impliqués dans la lutte à la violence. Pour nous se fut un lieu de rencontre qui nous a permis de mieux connaître le système scolaire français et la culture associée à la prévention de la violence.  Des intervenants du milieu scolaire, des villes et de la police ont pu échanger sur les mécanismes en place pour lutter contre la violence.  En après-midi, nous sommes allés à l'Inspection Académique  (similaire à nos commissions scolaire) de Seine Saint-Denis.  M. Bobelet, directeur adjoint à l'inspecteur a fait l'allocution d'ouverture de la rencontre.  Lors de cette rencontre  nous avons pris connaissance de l'ensemble des services concernés par les problèmes de violence et de tous les mécanismes mis en place pour lutter contre les problèmes de violence,  autant celle provenant des enfants que celle provenant des parents.


Sur la photo les membres de notre délégation qui n'ont plus besoin de présentation.  À l'avant, M. Jean Caffier, organisateur et responsable de notre mission.  Également de la direction des relations européennes et internationales  pour l'Université Paris-Est Créteil.  À la droite de Mme Picard, Mme Sophia Lamri, Médiatrice prévention violence scolaire.  À l'extrême droite à l'avant, M. Bernard Bobillot, éducateur retraitré de la protection judiciaire de la jeunesse et trésorier pour l'Association pour la promotion de la Citoyenneté des enfants et des jeunes.  Toujours à l'extrême droite, à l'arrière, M. Jean-Louis Auduc, directeur adjoint de l'UPEC (Université Paris-Est Créteil).  Il  a récemment publié, aux éditions Descartes & Cie, Sauvons les garçons ! Prenant le contre-point des idées actuelles sur la mixité, il démontre en quoi le système scolaire contribue à nuire à la réussite scolaire des garçons.



Sur la photo, à gauche M. Jean Caffier, au centre M. Bernard Bobillot et à droite, M. Jean-Louis Auduc


Notre délégation accompagnée de nos collaborateurs français.